FÉVRIER 2021-FÉVRIER 2024 : DÉJÀ 3 ANS ET 34 ÉDITIONS

On dit d’un enfant de 3 ans qu’il s’affirme, se développe et prend conscience de son potentiel, qu’il optimise ses audaces, ses perspectives et son autonomie. Son identité se construit au quotidien dans un environnement multiforme et continuellement changeant, qu’il apprend à connaître et qu’il continue d’explorer pour progresser. À la lecture de ces indications, nous avons donc de bonnes raisons d’appeler les Échos de l’Éco « notre bébé » !

Cela étant dit, et toutes considérations maternelles mises de côté, l’évolution de ce journal mensuel s’affirme en maturité. En effet, nous vous inviterons dans les tous prochains jours à visiter notre nouveau site internet, entièrement restructuré, dynamique et suffisamment riche en informations pour jouer dans la cour des grands. Pour accompagner ces contenus, vous pourrez nous confier vos publicités, vos promotions, vos communiqués et même vos vidéos. Vos images seront valorisées, promues, boostées grâce à ce support digital diffusé tous azimuts. Comme vous le savez, les Échos de l’Éco apprécient aussi le papier. Alors nous avons investi dans un équipement numérique qui nous permet d’imprimer avec une belle qualité vos rapports annuels, vos plaquettes, vos flyers et autres cartes de visite (voir p. 18).

En ce qui concerne les projets, une chaîne YouTube est en gestation et nous ne manquerons pas de vous tenir informés de sa mise en ligne.

En attendant, ce numéro de février tient toutes ses promesses et traite de sujets variés notamment celui qui en fait la une, consacré aux pionniers de la découverte et de l’identification des potentialités géologiques pétrolières gabonaises.

L’actualité du pays régale ceux qui se nourrissent de kongossa et de polémiques, ce qui n’entre pas dans la ligne éditoriale des Échos de l’Éco. Alors nous choisissons de diffuser, de traiter, d’analyser les sujets qui nous permettent de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. Nous préférons saluer les investisseurs à l’instar d’OCT qui s’emploient à développer leurs activités portuaires autant que leurs actions RSE, observer la croissance de l’Afrique subsaharienne ou encore découvrir le PNDT, Plan national de développement appelé à remplacer, voire reprendre, les bases du PAT.

Il nous plaît de nous intéresser à cette Afrique qui avance, qui progresse, qui renforce son emprise sur le marché des minéraux critiques, qui s’unit avec des bailleurs de fonds, qui étudie les pistes de sortie de crise et analyse les valeurs encore insuffisamment exploitées. Trois ans pour consolider une ligne éditoriale et valoriser des acquis. Merci, chères lectrices et chers lecteurs, merci aussi à nos contributeurs pour la confiance que vous nous témoignez. Nous sommes déterminés à continuer à vous donner entière satisfaction, parce que vous le valez bien !

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