ENTRE LES MOTS ET LES ACTES, PARFOIS IL Y A UN GOUFFRE
C’est une des raisons pour lesquelles s’informer, se documenter, lire… comparer, vérifier et enfin analyser nous permet une lecture objective du milieu dans lequel nous exerçons, nous évoluons. C’est ce que nous tentons de réaliser dans chacune de nos éditions des Échos de l’Éco : aborder des sujets en adoptant un ton neutre et impartial nous permet de ne pas nous engouffrer dans les méandres de pensées burlesques ! Dans un monde où l’information circule à une vitesse fulgurante, il est crucial de s’assurer que la façon dont nous rendons compte de l’actualité est fondée sur des faits vérifiés et fiables. Le processus d’information, de documentation et d’analyse n’est pas simplement un exercice intellectuel ; c’est un moyen de développer une compréhension objective et nuancée des enjeux qui nous entourent, que ce soit dans le domaine économique, social ou environnemental. En adoptant ce ton dans les Échos de l’Éco, nous nous efforçons de réduire la subjectivité qui peut fausser notre compréhension. Cela nous permet de présenter une vision éclairée des sujets, sans nous laisser emporter par des opinions subjectives. Dans une société où les fake news peuvent se répandre rapidement, il est de notre responsabilité d’exercer rigoureusement notre métier de journaliste et de ne pas céder à la désinformation.
C’est sans doute grâce à cette ligne éditoriale que l’équipe Sobraga a accepté de répondre à nos questions. Par ailleurs, nous avons choisi de résumer l’actualité du devenir du marché financier de la zone Cemac qui répondra certainement à quelques-unes de nos questions. L’appui financier de l’Union européenne en faveur du Gabon exprimé dans le cadre du « Global Gateway » mérite aussi d’être évoqué ! Une présentation, même succincte de notre nouveau ministre de l’Économie et des Participations s’impose. Nous ne sommes pas indifférents au bilan positif de Moov Africa Gabon ni au tournant historique opéré par Airtel. Nous avons également souhaité nous interroger sur l’avancée des cryptomonnaies et sur la position qu’occupent les réseaux sociaux sur le plan continental. Enfin, comment ne pas nous attarder sur les 1 000 têtes de bétail arrivées au Gabon et sur la renaissance de l’industrie sucrière longtemps considérée comme un élément clé de l’économie nationale ?
Alors, comme chaque mois, nous vous souhaitons une bonne lecture de ce 45e numéro.