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Économie FMI : UN ALLIÉ STRATÉGIQUE ET CIRCONSTANCIEL

Gomez Agou est le nouveau représentant résident du Fonds monétaire international (FMI) au Gabon depuis le 20 septembre 2021. C’est à lui qu’incombe désormais la mission de superviser la mise en œuvre du nouveau programme triennal 2021-2023. Selon le FMI, le nouveau programme du Gabon est soutenu par la mise en œuvre par les institutions régionales de la Commission économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) de politiques et de réformes dans les domaines de la réglementation des changes et du cadre de politique monétaire. Ceci dans le but de soutenir une accumulation des avoirs extérieurs nets au plan régional, qui sont essentiels à la réussite du programme.

PORTRAIT ET PARCOURS

Dr Gomez Agou, 36 ans, ivoirien, passionné du développement, riche de 15 années d’expérience dans le diagnostic et la résolution des problématiques de développement économique. Monsieur Gomez Agou est docteur en économie de l’université Sorbonne-Panthéon (2020) en France, diplômé de l’université de Harvard (2014) aux États-Unis, de l’École nationale d’économie et statistiques appliquées (2007) de Côte d’Ivoire et de l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (2004) de Côte d’Ivoire. En octobre 2020, Gomez Agou a obtenu son titre de docteur en économie à l’université Paris 1 Sorbonne-Panthéon. Sa recherche doctorale portait sur l’amélioration du cadre de diagnostic de la croissance économique et de la diversification économique de ses anciens professeurs de Harvard. Il est titulaire d’un master en politiques publiques et développement international de Harvard Kennedy School of Government obtenu en 2014. À Harvard, il fut formé en matière d’analyse et de communication politique, de leadership et de management publics, et d’économie du développement. En 2014, l’université de Harvard lui a décerné le prestigieux prix « Raymond Vernon » pour « potentiel exceptionnel de leadership public en matière de développement international ». Gomez Agou fut récipiendaire de bourses d’excellence des universités de Harvard et de Princeton en 2012 pour son admission dans ces deux universités. En Côte d’Ivoire, il fut étudiant de l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INPHB) en classes préparatoires de 2002 à 2004. Il devient ingénieur-statisticien-économiste de l’École nationale de statistiques d’économie appliquée (ENSEA) en 2007. Enfin, il se passionne pour les jeunes. Il est coach certifié en développement personnel, partageant les principes de la réussite avec la jeunesse dans le monde. Il publie des vidéos de coaching sur sa page Facebook/YouTube (Les secrets de la réussite avec Gomez Agou) qui compte environ 50 000 abonnés. De la Banque mondiale en Indonésie à la primature en Côte d’Ivoire, il a vécu l’essentiel de son parcours dans les arcanes du FMI. Au cours de sa carrière, il a travaillé sur l’allègement de la dette en Côte d’Ivoire (2007-12), la conception du plan de développement en Indonésie (2014), la relance économique en Tunisie (2014-18), le conseil de politiques économiques, y compris la gestion économique de la crise covid au Ghana (2018-20). Il a aussi travaillé sur des questions transversales pour la région du Moyen-Orient, l’Asie centrale, l’Afrique du Nord et l’Afrique subsaharienne. Ces questions concernent la croissance économique, la diversification économique, la promotion du secteur privé, les politiques monétaires et de change, le développement des marchés financiers, la réforme de la fonction publique et de la sécurité sociale, la gestion transparente de ressources stratégiques y compris le pétrole, et la lutte contre la corruption. Dr Gomez Agou est actuellement représentant résident du FMI au Gabon, chargé du suivi d’un programme de 320 milliards de F CFA.

Échos de l’Éco : Bienvenue Monsieur Gomez Agou ! Une équipe des services du Fonds monétaire international (FMI) dirigée par M. Boileau Loko s’est rendue au Gabon du 8 au 14 décembre 2021 pour mener des discussions sur la première revue de l’accord élargi au titre du Mécanisme élargi de crédit (MEDC) qui a été approuvé en juillet 2021. Il s’agissait d’évaluer les actions pour lesquelles le Gabon a disposé de 553,2 millions de dollars américains (307 mds de F CFA). Quelle est l’issue de cette rencontre ?

Merci, chère Madame, de me recevoir dans vos tribunes. Je saisis cette occasion pour saluer vos lecteurs et leur souhaiter une bonne et heureuse année 2022. Mais avant de répondre à votre question, permettez-moi d’exprimer ma sympathie à l’égard des Gabonaises et Gabonais qui ont souffert et qui continuent de souffrir de la pandémie liée à la covid-19. Je voudrais aussi en profiter pour saluer la mémoire de toutes les personnes qui ont perdu la vie par la faute de cette pandémie et présenter mes condoléances à leurs proches. Si le Gabon, comme la plupart des pays du monde, n’a malheureusement pas échappé à la crise sanitaire due à la covid, on peut saluer le fait que les autorités aient su la contenir. Comme vous le savez, le FMI a rapidement pris les mesures nécessaires afin d’aider de nombreux pays en développement, y compris le Gabon. Les effets socio-économiques de la pandémie sont indéniables et persisteront sans doute encore pour un moment. Cependant, on note une reprise de la croissance économique au Gabon. Comment soutenir, accélérer cette croissance, et s’assurer qu’elle est bien partagée ? Telles sont quelques questions qui ont fait l’objet de nos discussions avec les autorités dans le cadre de la récente mission à Libreville. Plus spécifiquement, l’objectif de la mission portait sur trois sujets : le premier concernait l’évaluation de la situation économique au Gabon ; le second portait sur la mise en œuvre du programme approuvé en juillet 2021 ; quant au troisième, il s’agissait de s’entendre sur les mesures du programme pour l’exercice 2022. À l’issue de ces discussions, nos analyses nous amènent à penser qu’après la récession de 2020 (-1,8 %), la croissance économique devrait se situer autour +1,5 % en 2021 et s’accélérer en 2022 pour atteindre 3 % à mesure que la reprise s’affirme. Pour que cette croissance se matérialise, il est nécessaire d’accélérer la mise en œuvre d’un certain nombre de réformes. Par exemple, en matière de transparence des revenus issus de l’industrie extractive et de gestion des finances publiques. À ce sujet, les autorités ont déjà appliqué certaines mesures, notamment la réintégration du Gabon en qualité de membre de l'ITIE (Initiative pour la transparence dans les industries extractives). Pour 2022, nous avons également convenu de renforcer les mesures fiscales pour atteindre les objectifs du budget fixés pour cette année. Les discussions se poursuivent sur ces questions afin de finaliser la revue.

Sur quelles études vous appuyez-vous pour prévoir une hausse du PIB pouvant atteindre les 3 % ?

La maîtrise de la pandémie a permis une reprise de l’activité économique. Nos projections du PIB se basent sur des données datant de fin août 2021 qui indiquent une tendance haussière. Néanmoins, des risques à cette reprise demeurent : il s’agit de la résurgence malheureusement possible de la pandémie et d’une chute des prix du pétrole.

Outre les extractions et l’exploitation des valeurs minières, quels sont les secteurs qui poussent le PIB vers le haut ?

En effet, les exploitations minières, notamment l’industrie extractive du manganèse, le raffinage, sont des moteurs de cette reprise. À cela s’ajoute le BTP qui reprend avec la construction d'infrastructures tandis que le transport avec le regain de la mobilité et l’industrie du bois tirent aussi l’activité économique.

Comment se positionne le Gabon au sein de l’Afrique centrale ? Quels sont les moyens de comparaison ? Quels sont les plus et les moins ?

Le Gabon tient une place majeure en Afrique centrale. Il doit son rang à plusieurs aspects, dont trois principaux : le Gabon est un pays à revenu intermédiaire, le revenu par habitant y est le plus élevé de la sous-région ; il tient une place importante au sein de la Cemac ; enfin, c’est aussi l’un des poumons écologiques de la planète ! Une question importante est aussi de savoir d’où est parti le Gabon et les défis qu’il doit affronter aujourd’hui. Des progrès notables ont été faits notamment dans la diversification de l’économie nationale et la promotion de la croissance non pétrolière, en particulier dans l’agriculture. En 2021, le pétrole représentait autour 26 % du PIB contre 41 % en 2010, et la part des recettes pétrolières dans les recettes totales a baissé, passant de 50 % en 2010 à 30 % en 2020. Cependant, la croissance n’a pas toujours été très inclusive puisqu’on estime que 32 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. La récente pandémie a détérioré encore davantage la situation et poussé de nombreuses personnes, notamment les jeunes, dans le chômage. Aujourd’hui, le défi principal est de continuer à limiter l’impact de la pandémie tout en créant les conditions d’une croissance plus forte, résiliente, verte, génératrice d’emplois et inclusive. Comment y parvenir ? Premièrement, il faut investir dans les infrastructures et le capital humain. Ceci doit se faire en créant des marges de manœuvre au niveau budgétaire, en augmentant les recettes internes du Gouvernement, tant les recettes pétrolières et minières que non-pétrolières. Il y’a encore beaucoup de déperditions dans les recettes liées aux secteurs extractifs. L’adhésion à l’ITIE est un pas positif, mais il faut encourager davantage de transparence dans ces secteurs. De même, les exonérations coûtent encore cher à l’État, environ 500 mds de F CFA par an. Une partie de ces ressources pourrait servir à réaliser les investissements nécessaires. De même, il est important d’améliorer l’efficience des dépenses, notamment des dépenses d’investissement. À cet égard, les autorités se sont engagées dans le cadre du programme à exiger la publication des noms et des nationalités des bénéficiaires. Ces efforts permettront le financement des investissements essentiels au développement économique et social du pays et de protéger du surendettement. Deuxièmement, il faut créer un environnement propice à l’investissement privé. Il faut un environnement dans lequel les entreprises peuvent évoluer, c’est à dire : produire, vendre, faire des bénéfices, accroître le nombre de leurs employés et grandir. Un tel cadre pour les affaires doit être offert à toutes les entreprises sans exception à l’intérieur du Gabon. Cela passe par la réduction des tracasseries routières et de la parafiscalité qui diminue la capacité des entreprises à être compétitives à l’extérieur, par la construction d’infrastructures, la formation de qualité et adéquate des jeunes dans les écoles. Bref, un climat des affaires propice. Et encore, je n’ai pas tout cité. Un environnement des affaires de qualité ne doit pas être seulement l’apanage des zones économiques spéciales. Le troisième élément est relatif à la protection sociale. Nous avons encouragé les autorités à considérer les subventions ciblées. Je vous explique pourquoi. Le Gouvernement a mis en place une politique dite de lutte contre la vie chère. Cela signifie qu’il bloque le prix de certains produits et supporte la différence à la place de tous les consommateurs. Par exemple, imaginez qu’un de ces produits devrait coûter 2 000 F CFA. Au supermarché, il est vendu 1 500 F CFA pour tout le monde et c’est le Gouvernement qui paie la différence de 500 F CFA au vendeur. Ainsi, le Gouvernement paie 500 F CFA aussi bien pour moi que pour un ménage qui a seulement 200 000 F CFA de revenu. C’est injuste, car moi ou des gens comme moi n’avons pas besoin d’aide du Gouvernement. Ainsi, nous proposons que ce dernier identifie toutes les personnes qui ont besoin d’aide et qu’il leur apporte un soutien directement plutôt que de subventionner tout le monde. Pour mettre en œuvre un tel système d’aide, il y a des étapes à franchir. Il faut avoir la liste complète des personnes dans le besoin, ceux que l’on appelle les Gabonais économiquement faibles. La bonne nouvelle est que le Gouvernement a déjà entamé ce travail. Le ministère des Affaires sociales travaille sur une base de données qui répertorie cette cible de la population. Cette liste doit être assainie, mise à jour. À cette fin, la Banque mondiale collabore avec les autorités. Nous saluons cela. Avec une telle liste, le Gouvernement pourra mettre en œuvre, s’il le désire, cette aide ciblée. Cette action participerait significativement au renforcement de la protection sociale. De nombreux pays dans le monde pratiquent cette formule et nous considérons que c’est un exemple à suivre.

Les services du FMI encouragent les autorités à accélérer les réformes pour renforcer le secteur bancaire, améliorer l’environnement des affaires, favoriser le développement du secteur privé. Comment intervenez-vous dans ces domaines ?

Le secteur bancaire est important pour le développement économique, car il constitue une source de financement de l’économie. La banque, c’est aussi celle qui détient une partie importante de l’épargne des familles. Il faut donc que les banques soient solides. La Commission bancaire (Cobac) est chargée de la supervision des banques dans la zone Cemac et nous travaillons en collaboration pour faire en sorte que les banques en bonne santé le demeurent et que celles qui ont besoin d’être remises en bon état de marche le soient. Concernant l’environnement des affaires, c’est un élément très important. Comme je l’ai dit tantôt, l’un des défis à relever par le Gabon est l’emploi des jeunes. Et ce sont principalement les entreprises privées qui créent les emplois dans une économie. Par conséquent, pour que le secteur privé préserve son rôle de principal recruteur, il faut veiller à un environnement propice au développement des entreprises, renforcer la transparence, faciliter l’acquisition de titres fonciers et réduire les coûts de transactions pour les entreprises. Nous saluons les efforts du Gouvernement dans ce sens et les encourageons à en faire encore davantage.

Votre institution préconise une étude qui vise à réduire les exonérations de taxes accordées notamment aux zones d’activités privilégiées. Qu’en est-il ?

Pour répondre aux besoins de la diversification de l’économie, le Gabon a ouvert ses portes à des entreprises pour qu’elles produisent dans des secteurs qui ne sont pas classiques, et cette initiative est une bonne chose. Pour encourager ces nouvelles sociétés à venir s’installer au Gabon, d’importantes réductions fiscales ont été accordées et, selon nous, pas suffisamment contrôlées. À ce jour, le manque à gagner pour le Gabon en termes de perte d’impôts s’élève à 1 md de dollars US par an. Permettez-moi une comparaison : le FMI, sur trois ans, accorde 550 millions de dollars US au Gabon. Donc, le Gabon offre à ces opérateurs en une seule année deux fois ce que le FMI va lui prêter en trois ans. C’est énorme ! Nous pensons qu’il est indispensable de réduire ces exonérations. Un pas positif a déjà été franchi. En effet, la prochaine loi de finances du budget 2022 vise notamment à modérer ces exonérations. Mais soyons clairs, le FMI soutient l’idée de la diversification de l’économie, car elle est essentielle pour faire face à la problématique du chômage. En revanche, nous considérons qu’il ne suffit pas de proposer des incitations fiscales pour attirer des entreprises, les maintenir et les rendre suffisamment compétitives pour bénéficier à l’ensemble de l’économie. Des études prouvent que les réductions d’impôts ne sont pas les raisons principales évoquées par les chefs d’entreprises qui décident de s’installer dans un pays. D’autres raisons priment. Ces raisons varient d’un pays à l’autre, mais en général, des facteurs clés sont les suivants : la stabilité politique, la sécurité, le niveau des prix et des salaires, la rapidité des opérations administratives, la qualité de la formation de la main-d’œuvre et les infrastructures. Pour financer les infrastructures et la formation, l’État a besoin de collecter suffisamment d’impôts. Les impôts sont essentiels pour l’État afin de créer un écosystème durable pour les entreprises. Il faut donc trouver un équilibre entre exonération fiscale et optimisation des recettes fiscales.

Parlant d’impôts, votre communiqué faisait mention d’éviter la perte de recettes dans le secteur pétrolier et de veiller à la rationalisation des crédits de TV.

Le secteur pétrolier représente environ le quart de l’économie gabonaise. Ce secteur est influencé par les prix, la production de pétrole et les contrats de partage. Les recettes pétrolières de l’État doivent refléter ces variables en permanence. Cela évite les déperditions. Ensuite, comme dans tout pays, des crédits de TVA sont générés dans certains secteurs en fonction de la nature de leur activité. C’est le cas du secteur pétrolier au Gabon. Ces crédits de TVA doivent être remboursés. Seulement, il faut éviter que les entreprises ne compensent sans une coordination avérée de l’État. Autrement, cela peut mettre en difficulté la gestion de la trésorerie de l’État. Les remboursements doivent se faire conformément aux règles des finances publiques.

Dans le cadre de sa riposte à la pandémie de covid-19, le FMI a créé une ligne de liquidité à court terme pour venir en aide aux pays membres dont la politique économique et les paramètres fondamentaux sont très solides. Le Gabon est-il concerné ?

Le FMI a manifesté sa solidarité durant cette phase douloureuse de la vie des nations durement affectée par la pandémie de covid-19. À cet effet, nous avons mis en place un financement d’urgence. Contrairement aux prêts classiquement octroyés qui dépendent d’un ensemble d’engagements, ce financement spécial ne fut soumis à aucun engagement. Le Gabon a reçu 300 millions de dollars US pour financer la lutte contre la pandémie d’un point de vue sanitaire, économique et social. À la suite de cela, il est important pour les pays ayant bénéficié de ces fonds de rendre compte de leur utilisation afin que l’on en comprenne l’impact. Au Gabon, les autorités ont initié un audit sur les dépenses covid. Les résultats de cet audit sont attendus pour la finalisation de la première revue.

Les questions que se posent les opérateurs économiques du Gabon sont souvent identiques et portent sur le paiement de la dette intérieure. Quelle est la position du FMI à ce sujet ?

Ce sujet est une question importante pour le FMI. Ces arriérés ont été listés par la task force qui a déterminé les sommes dues à chaque entreprise. Il appartient à l’État de définir un échéancier et les critères de priorités des remboursements. C’est-à-dire un plan d’apurement. Les autorités se sont engagées à cela dans le cadre du programme. C’est un autre élément clé pour la finalisation de nos discussions dans le cadre de la première revue. Il faut dire que sur ce dossier, les choses avancent relativement bien.

La bonne gouvernance est une vaste notion qui englobe tous les aspects de la gestion des affaires d’un pays, notamment la politique économique, le cadre réglementaire et l’État de droit. Vous y êtes très attaché. Envisagez-vous la mise en place d’un traitement spécial pour le Gabon ?

Un certain nombre de mesures sont déjà intégrées dans notre programme. Les autorités sont conscientes de l’importance de la bonne gouvernance, elles se sont engagées à faire preuve de transparence et encore une fois, la réintégration à l’ITIE le prouve. Des pas importants sont attendus pour renforcer cette dynamique. Il s’agit notamment de la publication des noms et nationalités des bénéficiaires des marchés publics. Cette mesure est cruciale pour la première revue du programme. Nous avons été encouragés par la volonté réaffirmée des autorités à renforcer la bonne gouvernance.

le 7 janvier 2022

Anne-Marie Jobin

FMI, Economie


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