Les actionnaires de BGFI Holding Corporation se sont réunis sur convocation du conseil d’administration en vue de statuer sur la clôture des comptes au 31 décembre 2021. Au cours de cette session qui s’est tenue dans la salle conférence de l’immeuble Atlas, siège social du groupe BGFIBank, les actionnaires du Groupe ont pris connaissance du rapport de gestion du conseil d’administration relatif aux activités du Groupe au cours de l’exercice 2021, de l’ensemble des rapports des commissaires aux comptes pour l’exercice cité, ainsi que des textes de résolution.

Au 31 décembre 2021, les comptes du Groupe font ressortir :

- un total bilan de 3 906 mds de F CFA, en hausse de 11 % ;

- une augmentation des dépôts de la clientèle de 13 % ;

- une augmentation des crédits à la clientèle de 10 % ;

- un produit net bancaire de 207 mds de F CFA, en hausse de 5 % ;

- un résultat net consolidé de 46 mds de F CFA, en hausse de 4 % ;

- une solidité financière affirmée ;

- une situation nette de 501 mds de F CFA, en hausse de 12 % ;

- un ratio de solvabilité (CET1) de 18 % ;

- une solidité financière maintenue à 20 %.

Après approbation des comptes, l’assemblée générale ordinaire a décidé d’affecter le résultat de l’exercice clos le 31 décembre 2021 au compte de réserves facultatives, conformément à la décision de la Cobac D-2020/104 portant gel de la distribution de dividendes. Ces résultats témoignent de la résilience du groupe BGFIBank qui, en dépit de la crise sanitaire économique et sociale, affiche une solidité financière matérialisée par un renouvellement de sa notation financière par l’agence régionale Bloomfield Investment Corporation :

– note à long terme A+, avec perspective stable ;

– note à court terme : A1 -, avec perspective stable.

C’est dans cette optique que le président-directeur général du Groupe, M. Henri-Claude Oyima, a présenté les perspectives du Groupe au titre de l’année 2022. Ces dernières sont fortement inscrites dans la poursuite de la mise en œuvre du projet d’entreprise « Dynamique 2025 » via des mécanismes de renforcement s’appuyant sur le capital humain, une croissance durable, un système d’information plus performant et une meilleure gouvernance.